Environs 30m de voiture au nord de Dali, j'ai visité un village typique dans la région, dont village de Xizhou qui étais aussi un point incontournable sur la route du thé à cheval. En visitant quelques anciennes demeures, j'ai pris quelques photos. Je trouve qu'il est déjà devenu un peu toutistique, mais le village n'a pas tout perdu sa tranquillité . Je retourne à la route nationale 'K214' qui serpente au pied du Mont Cangshan, j'arrive au village de Zhoucheng qui est connu avec les tissus 'Batik'. Le village est devenu entièrement une usine du tissu. Chaque famille est un petit atelier. Après déjeuner sur la route, je suis partie pour visiter la Grotte Shibaoshan, une grotte connue sur le trajet de Dali à Lijiang. Mais je me trompe la route. A la phylosophie chinoise 'On sais jamais si le bonneur ammène le maleur ou vice versa', je suis tompé dans un village isolé, mais bien authentique, je ne sais même plus le nom d'aujourd'hui. Deux dames bavardent en profitant le beau soleil, je n'ai absoluement pas le droit de casser leur tranquillité. Avec un peu de peine à cause de son dialecte fort, je comprend ce vieil homme nous demande d'où on vient, 'Pékin', 'Ah, Pékin! il est bien loins, il y a quelques centenaires de kilomêtre, il est presque aussi loins qu'à Kunming!'. 'Qu'est ce que c'est simple!' je me dit au fond de coeur. 'Il est peut-être jamais quitter son village'. Il y a en fait environs 3500km pour Pékin! En promnant au village, j'ai remarque une très bonne preuve. Suivant le développement commercial d'aujourd'hui, on a eu de plus en plus de 'village vide' à la campagne. Les jeunes sont presque tous parties en ville pour chercher leur richesse, il n'y a que les vieux et les petits enfants dans leur village.