Du 8 décembre 2012 jusqu’au 4 janvier 2013, moi et ma femme, tous les deux, nous avons fait un inoubliable voyage en voiture dans le sud de la chine . Durant le trajet de 7500km, nous avons découverte de nombreuses villes et villages typiques parmi les quels, La Cité ancienne Fenghuang était un bonheur pour nous. Le bourg Fenghuang (traduit en francais: FHENIX) où vivent les ethnies minoritaires Miao et Tujia , se situe dans la province de Hunan dans le Hunan de l'Ouest, l'endroit où voisine la province de Guizhou .La Cité de Fenghuang a été construite en 1704 sous l’empereur Kangxi de la dynastie de Qing. C’était à l’origine d’un camp militaire – Fenghuangying. Le nom de la ville doit à une montage à son sud , dont la forme resemble à un phénix déployant ses ailes. Connue pour son paysage pittoresque des montagnes et des cours d’eau , ses charme des vieilles maisons sur pilotis surplombant le fleuve Tuojian , et des ruelles pavées en pierre ,bordées d’échoppes qui proposent tous les spécialités de la région, et notamment pour une richesse de son histoire , culture et folklore , selon Rewi Alley, écrivain néo-zélandais, “la ville de Fenghuang est la plus belle ville chinoise”... La vue du jour de Fenghuang: Grace à son excellent état de conservation , la Cité ancienne nous offre toute une exposition de l’architecture traditionelle de style Ming (1368-1644) et Qing (1644-1911). Nous y découvrons des trottoirs grise de tuile en terre cuite ,des maisons sur pilotis les pavions, les ponts ,le rempart construit en roche rouge...Peut-être que ces éléments architeturaux se voient ailleurs, mais quand tout ce la s'intègre parfaitement a son environement – ces montagnes vertoyantes et un fleuve avec de l’eau limpide, Fenghuang est devenu tout à fait hors pair. Du fait qu’il faisait un temps bruineux et brumeux pendant nos séjours à Fenghuang, les couleurs de nos photos sont toutes ternes. Les montages se cachent dans la brume en créant une jolie perspectif flou et mystérieuse pour la cité ancienne qui s’y adosse. Devant un tel paysage, un chinois doit dire sans ces mots réflexion : C’est un tableau de la peinture chinoise avec de l’encre de chine! Le fleuve Tuojiang traverse paisiblement le petit bourg de Fenghuang. Sur son rive sud se dresse la vieille cité protégée par un rempart qui longe le fleuve. Un pont bien spécial constitué par une série des piles carrées en pierre qui se mettent à la line indienne communique les deux rives en se laissant affouiller par le cours d’eau. Les inondations peuvent les noyer mais rien à détruire. Ce pont porte un nom “le Saut sur Roche” (Tiaoyan), malgré le quel, on n’a pas besoin de sauter d’une pile a l’autre pour traverser le fleuve, parce que entre chaque deux pieces il y a juste une distance d’un pas normal. A son coté, un autre pont couvert des planches, étant si étroit que deux personnes ne peuvent s'y croiser , à l’époque ,était la seule voie pour accéder dans la porte du nord de la Cité. Le fleuve Tuojiang, traversé par les ponts du “Saut sur Roche”,bordé des maisons sur pilotis, plus quelque barques avec rameurs qui pèchent, forme un paysage emblématique de Fenghuang. Les cormorans font un roupillon sur leur barque après avoir accompli leur mission de pêche. Autrefois , ici comme partout, on lavait tout dans les même rivières, des linges , des légumes, les pots de chambre... Parcontre, pendant nos séjours à Fenghuang, on ne voiyait que de nettoyage du linge. Tant mieux! Ma femme et moi, on se doutait que même les couvertures et les draps de notre lit de chambre hôte étaitent ainsi lavés... Et bien, en effet, tout est blanc, sans tache de salté ni de mauvais odeur... Qu’est ce qu’on demande de mieux? La vieille cité de Fenghuang est vraisment minuscule. Deux ruelles en parallèle séparées par le rempart qu’elles logent se presentent comme les artères de la ville. Elles sont flanquées non seulement d’échoppes qui proposent de nombreuses spécialités de la région, mais aussi de temple, des restaurants et bars, des hotels de charme et des maisons traditionelles, parmis les quelles, l’ancienne demeure de fameux SHEN Congwen en est un ensemble typique. Ce grand écrivant a décrit la beauté et le charme de cette ville, son pay natal, dans sa nouvelle “La ville frontalière”. Notre flânerie dans ces ruelles,où les pavées sont nettoyés et “cirés” par la pluie , nous a fait apercevoir que cette région est vraisment richee de spécialié en tout genre, des artisanaux aux choses à manger: les broderies, les bijous et les parures en feuille d’argent de l’ethnie Miao, les bonbons aux gingembres , du thé,de l’alcool de riz fruité, la viande fumée et séchée avec des fameuse têtes de cochons aplaties constamment exposées &` l’entrée des charcuteries. Sur le petit panneau accroché à cette tête de cochon aplaties tériblement affreux mais drôle,c’est écrit : Toujours être coppiée, mais jamais dépassée!!!. Ces bonbonnes sont remplies de tous les variétés de l’ alcool de riz brassé par les Miao, dont la plus parts sont aromatisés par soit un fruit (actinidia de Chine(猕猴桃),prune, poire), soit des fleures (osmanthus). Bien évidemment, il n’y manque jamais de l’acool avec des plants ou animaux medicinaux y macerés , ce qu'on prétend d’avoir un effet magique pour la santé ou la capacité sexuelle... La nuit de Fenghuang: Il est toujours regrettable de ne pas pouvoir passer la nuit dans la vieille cité de Fenghuang. La vue de la nuit y change complètement de celle du jour. Que c’est féerique !!! Son paysage nous a coupé le souffle !!! La nuit à Fenghuang, nous sommes récompensés par plein de bonne lumières que le mauvais temps nous a privé pendant la journée. Nous retournons au même site qu’on a visité le jour pour mitrailler la nuit de Fenghuang où les batiments traditionels bordant le fleuve sont tous éclairés. Les lumières colorées se projetent sur les façade, ornent les toitures, après quoi, tous se réfléchissent dans l’eau. C’est là, nous nous regrettons énormément de ne pas avoir pris un trépied pour que la vue dans la nuit ne soit pas floue sur les photos. Il faut avouer que ce qn’on a aprécié de la nuit de Fenghuang, c’est plutôt son paysage sous la lumière, mais pas tout à fait son atmosphère. On s’imaginait une sérénité de nuit dans un vieux bourg de montage où on ne devrait entendre que les bruissement du vent qui agite les feuilles, les murmurs des cours d’eau, de temps en temps quelques aboiements , et peut-être des chants et des musiques en provenance d’une soirée réunissant des Miao autour d’un feu... Mais tous ce dont on attendait furent remplacés par du boucan écrasant et interminable qui sort des fenêtre des discothèques ,des bars et des Karaokes. On dirait qu’il y a un concours de puissance de haut-parleur et d’amplificateur de sonorisation à chaque soirée... Quand on sillonne certaines ruelles la nuit, on est très sollicité pour entrer dans leur bar ou discothèque. Finalement, on ne s’est pas laissé tenter d’y boire un coup . Ma femme m’a dit que si c’était ces jeunes collègues, ils s’y seraient bien ammusé. Il faut dire que les chinois ne sont pas très pros pour gérer le conflit entre la prèservations des choses d’ancienne et le développement plus la commercialisation du tourisme. Et bien, il faut bien que les gens profitent du tourisme et que les touristes sortent et aient de quois à boire pour s’ammuser le soir au lieu de dormir dans l’hotel de bonne heure. En somme, l’atmosphère de la nuit à Fenghuang est bien particulier. Ce n’est pas ce dont on attendait , ma femme et moi, mais c’est quand même pas si mal. Les gens de Fenghuang: Au bout de deux jours de voyage à Fenghuang, je me suis fait une bonne impression sur le peuple de Fenghuang. Ils ne sont pas charlereux mais sympathiques et acceuillants, ils sont commerçant mais paisible ,non agressifs, c’est un peuple travailleur , humbles et zens. Manger à Fenghuang: Pour se restaurer, il n’y manque de rien. Les champignons et pusses de bamboo des montages, les crevettes et poissons du fleuve Tujiang, le canard des fermes, de la viande fumée et séchée (boucan)... Tous ces matières premières sont exposées à l’entrée des petits restaurants. Une fois commandée, les plats sont cuisinés sur place. Pour les gens qui ne supportent pas le gout épicé, il ne faut pas oublier de prevenir au restaurant de ne pas mettre trops de piment qui est indispensable pour la cuisine de la province de Hunan . Pour ma femme et moi, notre favori en est tout simple, la soup des nouilles de riz , toujours délicieux, propre, facile à digérer et pas cher. Hébergement àFenghuang: Quand à notre hébergement, on avait de la chance d’être venu dans la saison creuse qui nous permetait de bien choisir sur place une chambre en visitant d’un hôtel de charme à l’autre avant de prendre une décision. Après la première nuit passée dans l’hôtel de charme “Longge” , pour se faire plaisir d’ expérimenter davantage la vie dans les maisons sur pilotis, nous avons prise une autre maison de charme “Kuaileyizhan” qui est encore mieux située, dont notre chambre se donne directement au tronçon du fleuve le plus pittoresque. Si c’était la haute saison où toute la vieille cité serait saturée par des touristes, pour la mème chambre, sans parler de changer d’un hôtel, avec trois fois le prix, on ne soit même pas sur d’y en avoir une disponible... Comme on a un joli balcon de chambre qui surplombe le fleuve,bien qu’il fasse froid et humide ,il faut toutfois en profiter pour jouir d’une telle embiance poétique. Contre le froid, on a suivi l’exemple des gens locaux en couvrant une couverture fourrée de coton sur les jambes en même temps de prendre un thé bien chaud ou de l’alcool de Kiwi. Un apéro comme ça avant sortir diner, Que c’est agréable! Cependant, nous avons constaté que la cité ancienne de Fenghuang est en train de connaître une certaine défiguration à cause d’un “boom économique” et d’une grande exploitation du tourisme. Partout, on voit des traveaux de construction des installations permettants d’accueillir dans le future plus de touristes. Même pour rénover une maison traditionelle, son ancienne structure tout en bois intelligemment chevillée a été desormais remplacée par celle du beton armé. Si on conserve aujourd’hui ces heritages de cette manière, qu’est-ce qu’on aura de réelement typique à montrer aux prochaines générations.Ce qui est dramatique pour moi, c’est que cette mode de développement du tourisme est en train de se copier partout dans les regions typiques en Chine. Lijiang, Dali, Yangshuo en sont déjà l’exemples, Fenghuang est en train de leur suivre, il faut vraisment que le gouvernement prenne conscience de tout ça, et cherche à le bien maîtriser... Malgré tout , nous avons bien apprécié la cité antique de Fenghuang notre séjour là-bas nous sera inoubliable. Nous l’avons quitté avec l’espoir d’y retourner un jour. Fin