A Pékin, on ne voit quasiment pas de canards vivants, parce ce qu’ils sont tous “laqués”... Quand un Pékinois ,à la campagne, croise un tel group de canard qui est sur son chemin de retour , pense-t-il encore de les plumer et “laquer”? Au crépuscule,après avoir barboté, c’est l’heure de débarquement. Secouer de l’eau, et puis carder le duvet et les plume. Se mettre sur le chemin de retour... “Dame d’abord! Apres vous, mes dames! ” , Attendre au bord de la route en laissant passer les villageoises. Continuer la route, quand les villagoises sont loins... La marche bien aligné... Passer devant un marché. Monter par escalier l’un après l’autre... Enjamber le seuil de l’entrée et rentrer à la maison... Fin